ÉDITION SPÉCIALE ISTH 2017

Bonjour !

Ça y est ! Nous y sommes ! Ce congrès a démarré tambour battant où 9 000 participants se sont retrouvés lors d’une première journée bien chargée de très belles sessions, notamment sur les nouvelles thérapies dans l’hémophilie.

Découvrez donc la sélection du jour de notre équipe de rédaction au travers de brèves et d’interviews d’experts.

Aujourd’hui, mardi 11 juillet, le programme nous a offert aussi de belles perspectives, mais certaines salles sont vites devenues inaccessibles…

Dès la première heure, une session « State of the Art » très intéressante avec une mise au point de Katherine High (USA) sur la thérapie génique de l’hémophilie, une présentation de Steven Pipe (USA) sur les petites molécules thérapeutiques dans l’hémophilie, et un très bel exposé de Peter Lenting (France) sur les nouvelles thérapies basées sur les « nanobodies ».

Mais, il ne fallait pas manquer la conférence plénière de Peter Carmeliet sur l’angiogénèse. Ce chercheur remarquable est aussi un orateur brillant et le thème de sa présentation concerne aussi les maladies hémorragiques.

A partir de 9h30, nous avons pu écouter deux communications importantes Hall B : l’une sur la thérapie génique de l’hémophilie de John Pasi et l’autre relative aux données PK/PD obtenues avec le concizumab, anticorps anti-TFPI.

Une autre session de 9h30 à 10h45 salle Berlin, concernait aussi les thérapies futures de l’hémophilie.

L’après-midi, l’emicizumab a été de nouveau sous les feux de la rampe, avec 4 communications le concernant à partir de 17h45 (salle New York).

Pour les scientifiques, une session plus fondamentale était proposée salle Helsinki 2, avec des exposés toujours ciblés sur l’hémophilie.

Encore et toujours les posters ont été une source de données nouvelles.

A demain, pour une très bonne troisième journée de congrès et la découverte de notre deuxième quotidienne !

Pr Yves GRUEL